Paroles
Je suis là à ne rien faire
Moment rare pour la mère
Que je suis
C'est dans une drôle d'atmosphère
Que remonte le souvenir de toi
Mon ami, et je me dis...
Qu'il te faudrait prendre le train
Et que moi je brise mon quotidien
Pour une fois
Qu'on se rencontre pour un peu distraire
Ce temps qui nous sépare de plus en plus
Le temps nous sépare,
De plus en plus...
T'es si imbécile, t’es si ridicule,
Tu me fais du bien
Quand tu m'offres sur un beau plateau
Ou dans un bol affreux tes jeux de mots
Tu me fais du bien,
Toucher ta main,
Revoir ton sourire, tu me manques
Quand tu te moques des travers
De cette jolie vie sur terre
Tu me fais du bien
Ici tout va pour le mieux
Le train-train bat son plein à toute vapeur
J'ai des projets en bouillonnement
Captivants et qui encore
M’emportent ailleurs
Je trouve bien de pouvoir t'écrire
Mais ce n'est pas comme tout te dire
En personne
Il nous faut maintenant faire des exprès
Pour se parler de plus près
Comme avant
Le temps nous sépare,
De plus en plus...
Refrain
Paroles & musique : Daniel Bélanger
Paroles : Quentin Lamotta | Musique : Sylvie Paquette
J'oublierai tout de la rencontre
Le jour et cette heure à nos montres
La rue, la pluie dans nos sourires
Ton nom, ta voix et même pireJ’oublierai tout
J'oublierai tout de toi
J'oublierai tout de l'aventure
Nos sentiments sur nos blessures
Et cet hôtel des coeurs cassésCette heure ou deux d'amour mal fait
Jusqu'à ton coeur inaccessible
J'oublierai tout si c'est possible
J'oublierai tout de toi
Après longtemps de temps
Longtemps de temps après
J'oublierai j'oublierai
J'oublierai tout de toi
J'oublierai tous nos mots d'amour
Et nos frissons sur peau velours
La nuit tombée près de tes yeux
Comme un silence entre nous deux
J'oublierai tout
J'oublierai tout de toiJ'oublierai tout
J'oublierai tout de toi
J'oublierai tout de notre histoire
L'important et le dérisoire
L'impression folle de jouer ma peau
Sur un dernier regard de trop
Jusqu'à ton coeur inaccessible
J'oublierai tout si c’est possibleJ’oublierai tout de toi
Après longtemps de temps
Longtemps de temps après
J'oublierai j'oublierai
J'oublierai tout de toiIl pleut si triste sur la ville
La pluie
Et tout ce vent dans mes oreilles
Jamais tranquille
Ce chagrin sourd en moi qui veille
Ce chagrin sourd en moi qui veille
Il pleut si lourd, un temps pareil
La pluie
Les passants courent, les passants frayent
Où donc vont-ils?
Moi je ne vis pas mais j’essaye
Moi je ne vis pas mais j’essaye
À quoi sert de courir cacher à la pluie son visage
Ne vaut-il pas mieux rien que laisser faire la vie
Laisser tomber la pluie, noyer le paysage
Rien que laisser la vie s’en aller dans la vie
Rien que laisser la vie s’en aller dans la vie
La pluie
La pluie...
Paroles : Dave Richard | Musique : Sylvie Paquette
Je voudrais que la vie
Nous porte comme un chant
Que l'amour soit le cri
Que l'on pousse en naissant
Je voudrais tant
Que l'amour soit le puits,
De lumière, la lueur
Qui sorte de leur nuit
Les orphelins du coeur
Je voudrais tant
Je voudrais tant
Pour toi et moi
Je voudrais tant
Pour toi et moi
Je voudrais, je voudrais
Savoir rire aux éclats
Ne plus vivre aux aguets
Ne plus porter de croix
Je voudrais tant
Je voudrais être un phare
Pour escorter le vent
Qui lève le brouillard
Sur nos rêves d'enfants
Je voudrais tant
Je voudrais tant
Pour toi et moi
Je voudrais tant
Pour toi et moi
Je voudrais que le temps
Balance ses balises
Que la peur du néant
Meure dans l'aube grise
Je voudrais tant
Qu’elle meure sous un faisceau
D’idéaux en délire
Je voudrais que les mots
Réapprennent à sourire
Je voudrais tant
Et s’il n'est pas trop tard
Avant l'heure du départ
Aller poser des fleurs
Sur la pierre de nos coeurs
Je voudrais tant
Je voudrais tant
Pour toi et moi
Je voudrais tant
Pour toi et moi
Je voudrais tant
Pour toi et moi
Voudrais le temps
Pour toi et moi
Paroles : Véronique Bleau | Musique : Richard Séguin
J’ai peur ce soir que tu me dises
Que tu ne m’aimes plus
Tout est si fragile
Tout tient par un fil
Ne le brise pas non
Pas encore
J’ai besoin de ta main
Encore un bout de chemin
Dans toutes les villes du monde
Toutes les banlieues du monde
Y’a des hommes et des femmes
Qui traînent sur les quais
Rêvant de s’en aller
Dans toutes les villes du monde
Les regards qui se fondent
Y’a de hommes et des femmes
Qui marchent sur les quais
En rêvant d’être aimé
J’ai peur qu’au matin je m’éveille
Et que tu n’y sois plus
Tout est si futile
Toute seule sur une île
Ne t’envole pas
Pas encore
J’ai besoin de tes yeux
Pour vivre encore un peu
Dans toutes les villes du monde
Toutes les banlieues du monde
Y’a des hommes et des femmes
Qui traînent sur les quais
Rêvant de s’en aller
Dans toutes les villes du monde
Les regards qui se fondent
Y’a de hommes et des femmes
Qui marchent sur les quais
En rêvant d’être aimé
Dans toutes les villes du monde
Toutes les banlieues du monde
Y’a des hommes et des femmes
Qui traînent sur les quais
Rêvant de s’en aller
Paroles : Mario Proulx | musique : Daniel Lavoie
Tous les chemins mènent à Rome
Tout m’amène à toi c’est tout comme
Toute l’eau va dans la mer
Poussière redevient poussière
Tous les chemins mènent à Rome
Tout moi pour toi fait la somme
C’est le sucre après l’amer
Mes doigts sur ta boutonnière
Tout mène à toi c’est tout comme
Tous les chemins mènent à Rome
Tous les pépins dans la pomme
Tout est là tout est parfait
Tout l’effet que tu me fais
Tous les chemins mènent à Rome
Donnons du fond à la forme
Donnons du poil à la bête
Tout ce qui monte à la tête
Tout mène à toi c’est tout comme
Tous les chemins mènent à Rome
Tous les pépins dans la pomme
Tout est là tout est parfait
Tout l’effet que tu me fais
Tous les chemins mènent à Rome
Tu es le plus beau royaume
Mon seul mon plus bel empire
Mon colisée de désir
Tous les chemins mènent à Rome
Tu es mon ultimatum
Chaque jour passe à demain
Les chansons dans les refrains
Tous les chemins mènent à Rome
Ne soyons pas économes
C’est comme un éclat de rire
Ça vient comme on le respire
Sortez les lions dans la cour
Je veux prouver ma bravoure
Gagner ton cœur comme un homme
Tous les chemins mènent à Rome
Paroles : Dave Richard | musique : Sylvie Paquette
Les jours où mon cœur prend l’eau
C’est toi qui me rassures
Qui me comprend
Tes bras sont un doux manteau
Une confortable armure
Contre le temps
Depuis nos premiers rendez-vous
Depuis le premier matin du premier jour
Je m’éveille rassurée de nous
Je m’endors la nuit démesurée d’amour
Tu m’fais quelque chose
Tu m’fais quelque chose
De grand
Tu m’fais quelque chose
Tu m’fais quelque chose
D’important
Mes rêves tombaient en morceaux
T’as réparé les fissures
Arrêté la pluie
Tu es le plus beau cadeau
Que peut m’offrir le futur
M’offrir la vie
Depuis nos premiers rendez-vous
Depuis le premier matin du premier jour
Je m’éveille rassurée de nous
Je m’endors la nuit démesurée d’amour
Tu m’fais quelque chose
Tu m’fais quelque chose
De grand
Tu m’fais quelque chose
Tu m’fais quelque chose
D’important
Depuis nos premiers rendez-vous
Depuis le premier matin du premier jour
Je m’éveille rassurée de nous
Je m’endors la nuit démesuré d’amour
Tu m’fais quelque chose
Tu m’fais quelque chose
De grand
Tu m’fais quelque chose
Tu m’fais quelque chose
D’important
Paroles & musique : Nelson Minville
Si je suis seule encore ce soir
C’est peut-être par ma faute
Peut-être par maladresse ou
Parce que je suis moins bien qu’une autre
Si je pouvais être comme celles
Qui dorment entre leurs bras
Heureuse, enfin pour une nuit
Mais seule encore aujourd’hui
Je suis
Et si c’est vrai que la vie
N’est que joies comptées
Et si l’amour jamais ne vaudra
Peines payées
Moi, je renoncerai aux souvenirs amers
À ces richesses, à ces faux millionnaires
En souvenir de rêves joyeux
Je n’irai pas danser pour raviver
Ces amours démodés
Pour quelques rires, pour quelques mots
Crucifier un amour de trop…
Leurs promesses de soleil et de sable
Toutes, je les ai toutes retrouvées
Froissées, mortifiées à mes pieds
Comme les feuilles à l’automne tombées.
Mort aux espoirs sans lendemain
De mes amours anciens
Mort à cette solitude que malgré moi
Maintenant je traîne entre mes mains
En souvenir de rêves joyeux
Je n’irai pas danser pour raviver
Ces amours démodés
Pour quelques rires, pour quelques mots
Crucifier un amour de trop…
Où êtes-vous princes charmants
Vous qui apaisiez mes tourments
Vous qui n’êtes jamais venus
Au rendez-vous des peines perdues
En souvenir de ces détours
Où l’illusion teintait l’amour
J’irai vers le bleu ciel
Vêtue de blanc
Tuer la fleur de mes amants
En souvenir de rêves joyeux
Je n’irai pas danser pour raviver
Ces amours démodés
Pour quelques rires, pour quelques mots
Crucifier un amour de trop…
Paroles & musique : Pierre Lapointe
Dans mon enfance, il y a un lac
Je bois les mots de son eau claire
Et je t'écris que j'aime la vie
J'écris sur l'eau j'écris sur l'air
J'écris sur le jour et la nuit
Et sur le ciel, à contre-jour
Je peins les visages de l'amour
Dans mon enfance, il y a un lac
Dans toute ma vie, il y a lac
C'est mon château, c'est ma chaleur
C'est ma chimère et mon bonheur
Mon sablier mon océan
L'Eldorado des rêves d'enfants
Et sur sa rive, jour après jour
Je sème les noms de mes amours
Dans toute ma vie, il y a un lac
Viens avec moi, au soleil couchant
Nous irons marcher sur la rive
Viens avec moi, au soleil levant
Nous irons marcher sur l’eau vive.
Nous irons marcher sur le temps
Cueillir des reflets qui enivrent
Voler la merveille de vivre
Pour la donner nos enfants.
Viens avec moi, au soleil couchant
Nous irons marcher sur la rive
Viens avec moi, au soleil levant
Nous irons marcher sur l'eau vive.
Paroles : Hélène Pednault | Musique : Richard Séguin
Au pied de ton lit
Un grand livre ouvert
L'histoire de la terre
Quelques litanies
Au creux de tes mains
L'odeur de la nuit
Et dans tes chagrins
L’amour qui revit
Et tu t’en souviens
Ton passé revient
Et tu t’en souviens
Ce n’est pas si loin
Au pied de ta vie
Le sel de la mer
Le sang de la terre
Dans un manuscrit
Au creux de ton âme
Des hommes et des femmes
Des intempéries
Plein de rêveries
Et tu t'en souviens
Le passé revient
Et tu t'en souviens
Ce n’est pas si loin
Au coeur de ton lit
Un amour qui dort
Une âme dans un corps
Ton rêve et l’oubli
Au creux de ton ventre
Le désir s’invente
Comme une poésie
Qui s’est endormie
Et tu t’en souviens
Un très doux matin
Et tu t’en souviens
Ce sera demain
Paroles : Marc Chabot | Musique : Sylvie Paquette