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Date de sortie : 2004

Paroles

  • Je suis là à ne rien faire

    Moment rare pour la mère

    Que je suis

    C'est dans une drôle d'atmosphère

    Que remonte le souvenir de toi

    Mon ami, et je me dis...

    Qu'il te faudrait prendre le train

    Et que moi je brise mon quotidien

    Pour une fois

    Qu'on se rencontre pour un peu distraire

    Ce temps qui nous sépare de plus en plus

     

    Le temps nous sépare,

    De plus en plus...

     

    T'es si imbécile, t’es si ridicule,

    Tu me fais du bien

    Quand tu m'offres sur un beau plateau

    Ou dans un bol affreux tes jeux de mots

    Tu me fais du bien,

    Toucher ta main,

    Revoir ton sourire, tu me manques

    Quand tu te moques des travers

    De cette jolie vie sur terre

    Tu me fais du bien

     

    Ici tout va pour le mieux

    Le train-train bat son plein à toute vapeur

    J'ai des projets en bouillonnement

    Captivants et qui encore

    M’emportent ailleurs

    Je trouve bien de pouvoir t'écrire

    Mais ce n'est pas comme tout te dire

    En personne

    Il nous faut maintenant faire des exprès

    Pour se parler de plus près

    Comme avant

    Le temps nous sépare,

    De plus en plus...

    Refrain

    Paroles & musique : Daniel Bélanger

  • Paroles : Quentin Lamotta | Musique : Sylvie Paquette

    J'oublierai tout de la rencontre

    Le jour et cette heure à nos montres
    La rue, la pluie dans nos sourires
    Ton nom, ta voix et même pire

    J’oublierai tout

    J'oublierai tout de toi

    J'oublierai tout de l'aventure
    Nos sentiments sur nos blessures
    Et cet hôtel des coeurs cassés

    Cette heure ou deux d'amour mal fait

    Jusqu'à ton coeur inaccessible
    J'oublierai tout si c'est possible
    J'oublierai tout de toi

    Après longtemps de temps
    Longtemps de temps après
    J'oublierai j'oublierai
    J'oublierai tout de toi

    J'oublierai tous nos mots d'amour
    Et nos frissons sur peau velours
    La nuit tombée près de tes yeux
    Comme un silence entre nous deux

    J'oublierai tout
    J'oublierai tout de toi

    J'oublierai tout
    J'oublierai tout de toi

    J'oublierai tout de notre histoire
    L'important et le dérisoire
    L'impression folle de jouer ma peau
    Sur un dernier regard de trop

    Jusqu'à ton coeur inaccessible
    J'oublierai tout si c’est possible

    J’oublierai tout de toi

    Après longtemps de temps

    Longtemps de temps après
    J'oublierai  j'oublierai
    J'oublierai tout de toi

  • Il pleut si triste sur la ville

    La pluie

    Et tout ce vent dans mes oreilles

    Jamais tranquille

    Ce chagrin sourd en moi qui veille

    Ce chagrin sourd en moi qui veille

     

    Il pleut si lourd, un temps pareil

    La pluie

    Les passants courent, les passants frayent

    Où donc vont-ils?

    Moi je ne vis pas mais j’essaye

    Moi je ne vis pas mais j’essaye

     

    À quoi sert de courir cacher à la pluie son visage

    Ne vaut-il pas mieux rien que laisser faire la vie 

    Laisser tomber la pluie, noyer le paysage

    Rien que laisser la vie s’en aller dans la vie

    Rien que laisser la vie s’en aller dans la vie

    La pluie

    La pluie...

    Paroles : Dave Richard | Musique : Sylvie Paquette

  • Je voudrais que la vie 

    Nous porte comme un chant 

    Que l'amour soit le cri           

    Que l'on pousse en naissant 

    Je voudrais tant 

     

    Que l'amour soit le puits, 

    De lumière, la lueur

    Qui sorte de leur nuit 

    Les orphelins du coeur

    Je voudrais tant 

     

    Je voudrais tant

    Pour toi et moi  

    Je voudrais tant

    Pour toi et moi  

     

    Je voudrais, je voudrais 

    Savoir rire aux éclats 

    Ne plus vivre aux aguets 

    Ne plus porter de croix 

    Je voudrais tant 

     

    Je voudrais être un phare 

    Pour escorter le vent 

    Qui lève le brouillard 

    Sur nos rêves d'enfants

    Je voudrais tant 

     

    Je voudrais tant

    Pour toi et moi 

    Je voudrais tant

    Pour toi et moi 

     

    Je voudrais que le temps 

    Balance ses balises 

    Que la peur du néant 

    Meure dans l'aube grise 

    Je voudrais tant 

     

    Qu’elle meure sous un faisceau 

    D’idéaux en délire 

    Je voudrais que les mots 

    Réapprennent à sourire 

    Je voudrais tant 

     

    Et s’il n'est pas trop tard 

    Avant l'heure du départ 

    Aller poser des fleurs           

    Sur la pierre de nos coeurs 

    Je voudrais tant 

     

    Je voudrais tant 

    Pour toi et moi 

    Je voudrais tant 

    Pour toi et moi 

     

    Je voudrais tant 

    Pour toi et moi 

    Voudrais le temps 

    Pour toi et moi 

    Paroles : Véronique Bleau | Musique : Richard Séguin

  • J’ai peur ce soir que tu me dises

    Que tu ne m’aimes plus

    Tout est si fragile

    Tout tient par un fil

    Ne le brise pas non

    Pas encore

    J’ai besoin de ta main

    Encore un bout de chemin

     

    Dans toutes les villes du monde

    Toutes les banlieues du monde

    Y’a des hommes et des femmes

    Qui traînent sur les quais

    Rêvant de s’en aller

     

    Dans toutes les villes du monde

    Les regards qui se fondent

    Y’a de hommes et des femmes

    Qui marchent sur les quais

    En rêvant d’être aimé

     

    J’ai peur qu’au matin je m’éveille

    Et que tu n’y sois plus

    Tout est si futile

    Toute seule sur une île

    Ne t’envole pas

    Pas encore

    J’ai besoin de tes yeux

    Pour vivre encore un peu

     

    Dans toutes les villes du monde

    Toutes les banlieues du monde

    Y’a des hommes et des femmes

    Qui traînent sur les quais

    Rêvant de s’en aller

     

    Dans toutes les villes du monde

    Les regards qui se fondent

    Y’a de hommes et des femmes

    Qui marchent sur les quais

    En rêvant d’être aimé

     

     

    Dans toutes les villes du monde

    Toutes les banlieues du monde

    Y’a des hommes et des femmes

    Qui traînent sur les quais

    Rêvant de s’en aller

    Paroles : Mario Proulx | musique : Daniel Lavoie

  • Tous les chemins mènent à Rome

    Tout m’amène à toi c’est tout comme

    Toute l’eau va dans la mer

    Poussière redevient poussière

     

    Tous les chemins mènent à Rome

    Tout moi pour toi fait la somme

    C’est le sucre après l’amer

    Mes doigts sur ta boutonnière

    Tout mène à toi c’est tout comme

     

    Tous les chemins mènent à Rome

    Tous les pépins dans la pomme

    Tout est là tout est parfait

    Tout l’effet que tu me fais

     

    Tous les chemins mènent à Rome

    Donnons du fond à la forme

    Donnons du poil à la bête

    Tout ce qui monte à la tête

    Tout mène à toi c’est tout comme

     

    Tous les chemins mènent à Rome

    Tous les pépins dans la pomme

    Tout est là tout est parfait

    Tout l’effet que tu me fais

     

    Tous les chemins mènent à Rome

    Tu es le plus beau royaume

    Mon seul mon plus bel empire

    Mon colisée de désir

    Tous les chemins mènent à Rome

    Tu es mon ultimatum

    Chaque jour passe à demain

    Les chansons dans les refrains

    Tous les chemins mènent à Rome

    Ne soyons pas économes

    C’est comme un éclat de rire

    Ça vient comme on le respire

     

    Sortez les lions dans la cour

    Je veux prouver ma bravoure

    Gagner ton cœur comme un homme

    Tous les chemins mènent à Rome

    Paroles : Dave Richard | musique : Sylvie Paquette

  • Les jours où mon cœur prend l’eau

    C’est toi qui me rassures

    Qui me comprend

    Tes bras sont un doux manteau

    Une confortable armure

    Contre le temps

     

    Depuis nos premiers rendez-vous

    Depuis le premier matin du premier jour

    Je m’éveille rassurée de nous

    Je m’endors la nuit démesurée d’amour

     

    Tu m’fais quelque chose

    Tu m’fais quelque chose

    De grand

    Tu m’fais quelque chose

    Tu m’fais quelque chose

    D’important

     

    Mes rêves tombaient en morceaux

    T’as réparé les fissures

    Arrêté la pluie

    Tu es le plus beau cadeau

    Que peut m’offrir le futur

    M’offrir la vie

     

    Depuis nos premiers rendez-vous

    Depuis le premier matin du premier jour

    Je m’éveille rassurée de nous

    Je m’endors la nuit démesurée d’amour

     

    Tu m’fais quelque chose

    Tu m’fais quelque chose

    De grand

    Tu m’fais quelque chose

    Tu m’fais quelque chose

    D’important

     

    Depuis nos premiers rendez-vous

    Depuis le premier matin du premier jour

    Je m’éveille rassurée de nous

    Je m’endors la nuit démesuré d’amour

     

     

    Tu m’fais quelque chose

    Tu m’fais quelque chose

    De grand

    Tu m’fais quelque chose

    Tu m’fais quelque chose

    D’important

    Paroles & musique : Nelson Minville

  • Si je suis seule encore ce soir

    C’est peut-être par ma faute

    Peut-être par maladresse ou

    Parce que je suis moins bien qu’une autre

     

    Si je pouvais être comme celles

    Qui dorment entre leurs bras

    Heureuse, enfin pour une nuit

    Mais seule encore aujourd’hui

    Je suis

     

    Et si c’est vrai que la vie

    N’est que joies comptées

    Et si l’amour jamais ne vaudra

    Peines payées

     

    Moi, je renoncerai aux souvenirs amers

    À ces richesses, à ces faux millionnaires

     

    En souvenir de rêves joyeux

    Je n’irai pas danser pour raviver

    Ces amours démodés

    Pour quelques rires, pour quelques mots

    Crucifier un amour de trop…

     

    Leurs promesses de soleil et de sable

    Toutes, je les ai toutes retrouvées

    Froissées, mortifiées à mes pieds

    Comme les feuilles à l’automne tombées.

     

    Mort aux espoirs sans lendemain

    De mes amours anciens

    Mort à cette solitude que malgré moi

    Maintenant je traîne entre mes mains

     

    En souvenir de rêves joyeux

    Je n’irai pas danser pour raviver

    Ces amours démodés

    Pour quelques rires, pour quelques mots

    Crucifier un amour de trop…

     

    Où êtes-vous princes charmants

    Vous qui apaisiez mes tourments

    Vous qui n’êtes jamais venus

    Au rendez-vous des peines perdues

     

    En souvenir de ces détours

    Où l’illusion teintait l’amour

    J’irai vers le bleu ciel

    Vêtue de blanc

    Tuer la fleur de mes amants

     

    En souvenir de rêves joyeux

    Je n’irai pas danser pour raviver

    Ces amours démodés

    Pour quelques rires, pour quelques mots

    Crucifier un amour de trop…

    Paroles & musique : Pierre Lapointe

  • Dans mon enfance, il y a un lac

    Je bois les mots de son eau claire

    Et je t'écris que j'aime la vie

    J'écris sur l'eau j'écris sur l'air

     

    J'écris sur le jour et la nuit

    Et sur le ciel, à contre-jour

    Je peins les visages de l'amour

    Dans mon enfance, il y a un lac

     

    Dans toute ma vie, il y a lac

    C'est mon château, c'est ma chaleur

    C'est ma chimère et mon bonheur

    Mon sablier mon océan

     

    L'Eldorado des rêves d'enfants

    Et sur sa rive, jour après jour

    Je sème les noms de mes amours

    Dans toute ma vie, il y a un lac

     

    Viens avec moi, au soleil couchant

    Nous irons marcher sur la rive

    Viens avec moi, au soleil levant

    Nous irons marcher sur l’eau vive.

     

    Nous irons marcher sur le temps

    Cueillir des reflets qui enivrent

    Voler la merveille de vivre

    Pour la donner nos enfants.

     

    Viens avec moi, au soleil couchant

    Nous irons marcher sur la rive

    Viens avec moi, au soleil levant

    Nous irons marcher sur l'eau vive.

    Paroles : Hélène Pednault | Musique : Richard Séguin

  • Au pied de ton lit

    Un grand livre ouvert

    L'histoire de la terre

    Quelques litanies

     

    Au creux de tes mains

    L'odeur de la nuit

    Et dans tes chagrins

    L’amour qui revit

     

    Et tu t’en souviens

    Ton passé revient

    Et tu t’en souviens

    Ce n’est pas si loin

     

    Au pied de ta vie

    Le sel de la mer

    Le sang de la terre

    Dans un manuscrit

     

    Au creux de ton âme

    Des hommes et des femmes

    Des intempéries

    Plein de rêveries

     

    Et tu t'en souviens

    Le passé revient

    Et tu t'en souviens

    Ce n’est pas si loin

     

    Au coeur de ton lit

    Un amour qui dort

    Une âme dans un corps

    Ton rêve et l’oubli

     

    Au creux de ton ventre

    Le désir s’invente

    Comme une poésie

    Qui s’est endormie

     

    Et tu t’en souviens

    Un très doux matin

    Et tu t’en souviens

    Ce sera demain

    Paroles : Marc Chabot | Musique : Sylvie Paquette

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