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Date de sortie : 2021

Paroles

  • Paroles : Nelson Minville | Musique : Christian Marc Gendron

    Je suis née de la terre

    Dans l’éther des étoiles

    D’un instant de lumière

    Dans la nuit sidérale

     

    Je suis d’âme et de pierre

    De colère et de calme

    De velours et de fer

    Et de glace et de flamme

     

    Et je prends comme je donne

    Je brûle et je frissonne

     

    Je suis d’amour et de carbone

    Je suis le feu et l’eau

    Je suis celle qui s’abandonne

    Le soir contre ta peau

    Je suis le froid, le chaud

    Le cœur et le corps qui fusionnent

    L’amour et le carbone

    L’amour et le carbone

                                                               

    Je suis d’air et de chair

    D’ADN animal

    De la même matière

    Que l’arbre ou la mygale

     

    Quand on se fait la guerre

    Quand on reprend les armes

    Tout le sel de la mer 

    A le goût de nos larmes

     

    Et je prends comme je donne

    Tu pars ou je pardonne

     

    Je suis d’amour et de carbone

    Je suis le feu et l’eau

    Je suis celle qui s’abandonne

    Le soir contre ta peau

    Je suis le froid, le chaud

    Le cœur et le corps qui fusionnent

    L’amour et le carbone

    L’amour et le carbone

     

    Je suis née de la terre

    Dans l’éther des étoiles

    D’un instant de lumière

    Dans la nuit sidérale

     

    Le cœur et le corps qui fusionnent

    Je suis le feu et l’eau

    Je suis celle qui s’abandonne

    L’amour et le carbone

    L’amour et le carbone

  • Paroles : Moran| Musique : Antoine Gratton

    Tu n’as jamais rien dit

    À propos des états

    Pour peu qu’ils soient unis

    Les cœurs sont l’omerta

    Nous on avait compris

    Qu’on ne comprendrait pas

    Et c’est très bien ainsi

    Et c’est très bien comme ça

     

    T’es pas l’homme de ma vie

    Y’a pas de femme dans la tienne

    Aucun sens interdit

    Pas d’histoires anciennes

    Tu n’as jamais rien dit

    À propos du soleil

    T’as quitté ton pays

    Pour une autre Marseille

     

    Autrement dit, jamais

    On aurait dit, toujours

    Autrement dit, j’aimais

    Notre idée de l’amour...

    Autrement dit, j’me tais

    Sans attendre mon tour

    Le muet c’est parfait

    Le silence est glamour

     

    Il n’y a pas à dire

    Pourquoi en faire un cas

    Pas matière à partir

    Quand on est déjà là

    Gaspiller la salive

    Répéter l’errata

    L’éternelle récidive

    Est au bout de nos doigts

     

    T’es pas l’homme de ma vie

    T’es la vie que j’me donne

    Je n’ai jamais rien dit

    Mais y a tout qui résonne

    Le motus ou les cris

    Entre nous c’est pareil

    Le corpus est proscrit

    Sous le ciel de Marseille

     

    Autrement dit, jamais

    On aurait dit, toujours

    Autrement dit, j’aimais

    Notre idée de l’amour...

    Autrement dit, j’me tais

    Sans attendre mon tour

    Le muet c’est parfait

    Le silence est glamour

  • Paroles & musique : Daniel Bélanger

    S'il s'avère qu'il n'y a rien après ni avant

    Considère que je t’aime entre deux néants

    Ça m'apaise de me le présenter comme ça

    Entre deux néants je t'aime ( 3 x )

     

    S'il est vrai qu'il n'y a rien après ni avant 

    Nous ne serons jamais plus mauvais perdants

    Jouissons de nos corps déjà vieillissants

    Entre deux néants je t'aime ( 3 x )

     

    S'il est vrai qu'il n'y a rien après ni avant

    La terre est une île sous un lampadaire

    Une heureuse lumière qui va, s'éteignant

    Entre deux néants je t'aime ( 4 x )

  • Colle-toi, recolle-moi
    Débrise-nous de partout(bis)
    Colle-toi, recolle-moi
    Répare-nous de nous(bis)

     

    L’amour fou furieux
    Sous un ciel de rage 
    Des larmes sur nos feux
    Pour incendier la cage

     

    Enfin libérés
    On s’est tout dit
    Et libres d’errer
    On s’étourdit

    Colle-toi, recolle-moi
    Débrise-nous de partout(bis)
    Colle-toi, recolle-moi
    Répare-nous de nous(bis)

    On s’est blessé
    Perdus de vue
    On s’est laissé
    Laissés au dépourvu

    On se voulait infini
    Des étoiles plein les yeux
    Mais les nuages crèvent aussi
    Et je pleure comme eux

    Le jour où tu reviendras
    Tu sais, je n’y serai pas
    Je serai parti te chercher 
    Moi aussi
    Moi aussi 

     

     

    Colle-toi, recolle-moi
    Débrise-nous de partout (bis)
    Colle-toi, recolle-moi
    Débrise-nous de nous(bis)

    Colle-toi, recolle-moi
    Débrise-nous de partout(bis)
    Colle-toi, recolle-moi
    Répare-nous de nous(bis)

    Paroles : David Goudreault |  Musique : Richard Séguin

  • Le cœur de l’océan, c’est ton cœur

    C’est là que je vis, loin des grands malheurs

    À vingt milles lieues de ce qui fait mal aux yeux

    Dans la lumière douce de ton regard bleu

     

    Le cœur de l’océan, c’est ton cœur

    C’est là que je dors, au milieu des fleurs

    Loin des tempêtes et des forêts en feu

    Dans un drap tissé, juste pour nous deux

     

    Même si je sais qu'il n’existe pas

    Ce pays où l’on n’arrive jamais

    Peut-être que nous on y arrivera

    Dans ce royaume que tu m’as inventé

     

    Oui si je sais qu'il n’existe pas

    Le pays où l’on n’arrive jamais

    Je sais que nous on y arrivera

    S’il faut marcher mille ans je marcherai

     

    Le cœur de l’océan c’est ton cœur

    C’est un matin calme, dans un monde sans peur

    C’est mille couleurs sur les murs des banlieues

    C’est un jardin où le ciel est toujours bleu

     

    Même si je sais qu'il n’existe pas

    Ce pays où l’on n’arrive jamais

    Peut-être que nous on y arrivera

    Dans ce royaume que tu m’as inventé

     

    Oui si je sais qu'il n’existe pas

    Le pays où l’on n’arrive jamais

    Je sais que nous on y arrivera

    S’il faut marcher mille ans je marcherai

     

    Le cœur de l’océan, c’est ton cœur

    C’est là que je dors, au milieu des fleurs

    Loin des tempêtes et des forêts en feu

    Dans un drap tissé, juste pour nous deux

    Dans un drap tissé, juste pour nous deux

    Paroles : Thierry Séchan | Musique : Daniel Lavoie

  • Cacher les mots

    Sous la plume d’un oiseau

    L’enfance et ses chevaux

     

    Le soleil comme un phare

    Et la lune qui veille

    La fleur qui se réveille

    Une seconde sans un bruit

    La musique de la pluie

    L’espace dans ton regard

     

    Une page blanche

    Une page de silence

     

    Cacher les mots

    Dans la lande aux oiseaux

    Entendre le berceau

    Dans le chant des bateaux

     

    Le soleil entre les feuilles

    Le bleu derrière

    Toujours la lumière

    Le vent entre les branches

    Les ombres qui dansent

    Le cœur qui se balance

     

    Une page blanche

    Une plage et l’immense

    Une plage et la chance

     

    Trouver ici ou quelque part

    Le parapet, le garde-fou

    Là-bas ou n’importe où

    Toucher la paix, cœur à genou

     

    Une page blanche

    Une plage de fleurs

    Une page de bonheur

    Une plage blanche

    Une plage de chaleur

    Une page pour ton cœur

     

    Cacher les mots

    Sous la plume d’un oiseau

    Du vent dans mon chapeau

    Paroles : Dany Rossignol | Musique : Sylvie Paquette

  • Bleu, comme je suis de toi

    Bleu, comme mes yeux qui voient

    Mélancolie mêlée de joie

    Bleu, le coeur dans les nuages

    L'ombre sur ton visage

    La musique que porte ta voix

    Bleu, dénudée devant toi

    Feu et frisson à la fois

    Une feuille qui tremble entre tes doigts

    Dieu, sait bien ce qui est bien

    Et retient dans sa main

    L'instant des amours bleus

     

    Bleu, la mer à l'infini

    Une danse une mélodie

    Qui berce nos peines jusqu'à l'oublie

    Bleu, le ciel ouvert à tout

    La larme sur ta joue

    La grande chance d'un rendez-vous

    Bleu, comme les murs de la chambre

    Où se découpe l'ambre

    De tes cheveux quand vient la nuit

    Dieu, sait bien ce qui est bien

    Et retient dans sa main l'instant des amours bleus

     

     

    Bleu, dénudée devant toi

    Feu et frisson à la fois

    Une feuille qui tremble entre tes doigts

    Dieu, sait bien ce qui est bien

    Et retient dans sa main

    L'instant des amours bleus

    Paroles : Andrea Lindsay / Luc De Larochellière | Musique : Andrea Lindsay

  • Seule cette nuit d’hiver

    Les lampadaires qui rêvent du jour

    Et mon cœur qui se bouscule 

    Entre l’aurore et le crépuscule

     

    Je vois les gens et leurs plaisirs

    Les étincelles et les fous rires

    Le délire qui me scintille

    Comme un bijou au doigt de l’oubli

     

    Je marche sur une corde raide

    Suspendus au-dessus des aires

    Un funambule qui vole sans ailes

    L’amour est comme une marche sur une corde, sur une corde raide  

     

    J’avance sur le pont

    De ce vieux port au bout du monde

    Dans la rue des amours déchus

    Où les soupirs viennent s’anéantir

     

    Mon cœur s’est endormi

    Somnambule au fond de la nuit

    Sur le pont des amoureux

    Est-ce que j’avance ou est-ce que je fuis?

     

    Je marche sur une corde raide

    Suspendus au-dessus des aires

    Un funambule qui vole sans ailes

    L’amour est comme une marche sur une corde, sur une corde raide  

    Paroles & musique : Zachary Richard / Mélissa Bonin

  • Dis, combien de milles 
    D’ici à la lune ?
    Dis si sous la ville
    Dort encore la dune
    Et sous tes silences ?
    Dis s’il y a des mots
    J’avoue que j’y pense
    Bien plus qu’il ne faut

    Dis combien tu m’aimes pour qu’un peu j’y crois
    Surtout pas de peine, je suis près de toi
    Passent les semaines, le chaud et le froid
    Dire combien je t’aime ? Ça je ne sais pas

    Au fond de la mer
    Dorment tes secrets
    Je s’rais moins amer
    Si un peu je savais
    Et dans tes toujours
    Dis, combien de temps ?
    Quand je serai vieux
    Toi, m’aimeras-tu autant ?

    Dis combien tu m’aimes pour qu’un peu j’y crois
    Surtout pas de peine, je suis près de toi
    Passent les semaines, le chaud et le froid
    Dire combien je t’aime ? Ça je ne sais pas

    Si je n’voyais plus
    Serais-tu mes yeux ?
    Si je n’marchais plus
    Me port’rais-tu un peu ?
    Mesurer l’amour
    Aimer sans mesure
    Peut nous jouer des tours
    Nous avoir à l’usure

    Dis combien tu m’aimes pour qu’un peu j’y crois
    Surtout pas de peine, je suis près de toi
    Passent les semaines, le chaud et le froid
    Dire combien je t’aime ? Ça je ne sais pas

    M’aimes-tu toujours ?
    M’aimes-tu un peu plus ?
    Dis-moi si un jour
    Nos doutes se s’ront perdu

    Paroles : Luc de Larochelière / Andrea Lindsay | Musique : Luc de Larochelière

  • À l'aube de rien
    Là où l'eau redevient l'océan
    Je bouffe les grains
    Du sable par les salines
    Depuis le jour où j'ai perdu mon cœur
    Au fond de ta poitrine

    Et puis passe le temps
    Comme des doigts dans les cheveux
    Mais les heures s'entassent

    Ça devient ridicule

    De plus en plus pluvieux

    Tous ces nuages qui reculent

     

    Je suis une flèche 

    Qui jamais n'atteindra sa cible

    Une bête de rien

    Un poète invisible

    Au moins aussi étrange que malhabile

    Un petit pot pour le fragile

     

    Puis le sang dans ma tête

    Cette impression que je manque de veine

    Combien de kilomètres 

    Pour arriver au bout de ma peine

    Le diable est vert au fond des êtres

    Mais toi tu sais toujours me reconnaître

     

    Si je n'entends plus rien

    Dans l'autre moitié de mon corps

    Je vois s'user sans fin

    Chacune des étoiles par l'échine

    Mais la poussière m'étouffe encore

    Tant ta matière me chagrine

     

    À l'aube de rien

    Là où l'eau redevient l'océan

    Je bouffe les grains

    Du sable par les salines

    Depuis le jour où j'ai perdu mon cœur

    Au fond de ma poitrine

    Depuis le jour où j’ai perdu mon cœur 

    Au fond de ma poitrine

    Paroles & musique : Moran

  • J’ai soigné des oiseaux
    Ils se sont envolés une fois guéris
    J’ai donné un peu d’eau
    À des chiens perdus
    Ils ne m’ont pas mordu
    Sans demander en retour 
    La lune et ce qu’il y a autour:
    Quelques étoiles
    Les oiseaux viennent m’endormir
    Les chiens ils reviennent 
    Pour qu’on joue à la balle

    Je fais tout ce que je peux pour toi
    Je t’aide de mon mieux, toujours tu en profites
    Tu m’appelles quand il fait nuit
    Quand la peur te saisit, j’accours de mon plus vite
    Je ne veux rien en retour 
    Tout juste un peu d’égard, tu n’es pas maboule 
    Ta colère n’est pas la mienne
    Et je ne suis pas une chienne 
    Sur qui on se défoule

    Tu m’engueules et m’entortilles
    me pièges et me torpilles
    Prends tout ce que tu es 
    Et donne à chanter aux oiseaux
    À boire aux cabots
    Ça ne nous fera jamais de mal

    Paroles & musique : Daniel Bélanger

  • Je suis née loin d’ici

    Je reviens de là-bas

    Trop souvent repartie

    Ma vie avant toi

    Les racines en sursis

    Le désir quelques fois

    Je partais sans soucis

    Ma vie avant toi

     

    Plus rien comme avant je ne cours plus après

    Je regarde devant et je te garde je te garde tout près de moi

     

    Des larmes d’eau de vie

    Soigner cœur qui bat

    Et noyer mes envies

    Ma vie avant toi

    Des nuits pleines d’oublis

    Des routes et des pas

    D’autres draps, d’autres lits

    Ma vie avant toi

     

    Plus rien comme avant je ne cours plus après

    Je regarde devant et je te garde je te garde tout près de moi

     

    Mais qui l’aurait prédit

    L’amour et un toit

    Répit du cœur meurtris

    Ma vie avec toi

     

    Ma vie avec toi

    Ma vie avec toi

    Paroles : David Goudreault | Musique : Richard Séguin

  • J’ai mis mon sac sur ton dos

    Et puis ma main dedans la tienne

    Entre Bastia et Ajaccio

    Entre maman et musicienne

     

    On s’dit souvent le temps qui fait

    On parle de choses quotidiennes

    On se dit tout ou on se tait

    Et puis ma main dedans la tienne

     

    Y’a pas de vent dans nos cheveux

    Y’a plus d’enfants qui nous retienne

    Y’a que la mer et puis nous deux

    Des souvenirs en boîte crânienne

     

    On s’dit souvent le temps qui passe

    On parle de chance et puis de veine

    Des liens du sang de pots qui cassent

    Et de ta main dedans la mienne

     

    J’ai mis mon sac sur ton dos

    Calvi nous prend pour une chanson

    La vie est belle en stéréo

    Y’a pas erreur sur le garçon

     

    Tu dis souvent - je t’aime trop

    Comment tu fais pauvre terrienne?

    J’ai l’impression d’être un héros

    Quand j’ai ta main dedans la mienne

     

    Y’a pas de vent dans nos cheveux

    Y’a plus d’enfant qui nous retienne

    Y’a que la mer et puis nous deux

    Des souvenirs en boîte crânienne

     

    On s’dit souvent le temps qui passe

    On parle de chance et puis de veine

    Des liens du sang de pots qui cassent

    Et de ta main dedans la mienne

     

    Y »a pas Petru sans Corsica

    Y’a pas de nous quand t’es pas là

    Y’a que cet air qu’on retiendra

    La mélodie de toi et moi

     

    J’me dis souvent - je l’aime trop

    Comment j’ai fait pauvre terrienne

    Pour mériter que mon héros   

    Garde ma main dedans la sienne?

    Paroles : Moran | Musique : Catherine Major

  • C’est une lumière

    Qui traverse le corps

    Elle reste sur la terre

    Pour refaire le décor

     

    C’est une blessure

    Qui finit par trouver

    Le long chemin des mots

    Le lent chemin du beau

     

    Elle voyage dans nos veines

    La chanson de Cohen

    Elle voyage dans nos rêves

    La chanson la chanson de Cohen

     

     

    C’est le silence

    Après le bel amour

    Nos corps sont en patience

    Dans le lever du jour

     

    C’est une tristesse

    Qui devient caresse

    Dans une chambre d’hôtel

    Nos rêves qui s’emmêlent

     

     

    Elle voyage dans nos veines

    La chanson de Cohen

    Elle voyage dans nos rêves

    La chanson la chanson de Cohen

    Paroles : Marc Chabot | Musique : Luce Dufault

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