Paroles
Paroles : Nelson Minville | Musique : Christian Marc Gendron
Je suis née de la terre
Dans l’éther des étoiles
D’un instant de lumière
Dans la nuit sidérale
Je suis d’âme et de pierre
De colère et de calme
De velours et de fer
Et de glace et de flamme
Et je prends comme je donne
Je brûle et je frissonne
Je suis d’amour et de carbone
Je suis le feu et l’eau
Je suis celle qui s’abandonne
Le soir contre ta peau
Je suis le froid, le chaud
Le cœur et le corps qui fusionnent
L’amour et le carbone
L’amour et le carbone
Je suis d’air et de chair
D’ADN animal
De la même matière
Que l’arbre ou la mygale
Quand on se fait la guerre
Quand on reprend les armes
Tout le sel de la mer
A le goût de nos larmes
Et je prends comme je donne
Tu pars ou je pardonne
Je suis d’amour et de carbone
Je suis le feu et l’eau
Je suis celle qui s’abandonne
Le soir contre ta peau
Je suis le froid, le chaud
Le cœur et le corps qui fusionnent
L’amour et le carbone
L’amour et le carbone
Je suis née de la terre
Dans l’éther des étoiles
D’un instant de lumière
Dans la nuit sidérale
Le cœur et le corps qui fusionnent
Je suis le feu et l’eau
Je suis celle qui s’abandonne
L’amour et le carbone
L’amour et le carbone
Paroles : Moran| Musique : Antoine Gratton
Tu n’as jamais rien dit
À propos des états
Pour peu qu’ils soient unis
Les cœurs sont l’omerta
Nous on avait compris
Qu’on ne comprendrait pas
Et c’est très bien ainsi
Et c’est très bien comme ça
T’es pas l’homme de ma vie
Y’a pas de femme dans la tienne
Aucun sens interdit
Pas d’histoires anciennes
Tu n’as jamais rien dit
À propos du soleil
T’as quitté ton pays
Pour une autre Marseille
Autrement dit, jamais
On aurait dit, toujours
Autrement dit, j’aimais
Notre idée de l’amour...
Autrement dit, j’me tais
Sans attendre mon tour
Le muet c’est parfait
Le silence est glamour
Il n’y a pas à dire
Pourquoi en faire un cas
Pas matière à partir
Quand on est déjà là
Gaspiller la salive
Répéter l’errata
L’éternelle récidive
Est au bout de nos doigts
T’es pas l’homme de ma vie
T’es la vie que j’me donne
Je n’ai jamais rien dit
Mais y a tout qui résonne
Le motus ou les cris
Entre nous c’est pareil
Le corpus est proscrit
Sous le ciel de Marseille
Autrement dit, jamais
On aurait dit, toujours
Autrement dit, j’aimais
Notre idée de l’amour...
Autrement dit, j’me tais
Sans attendre mon tour
Le muet c’est parfait
Le silence est glamour
Paroles & musique : Daniel Bélanger
S'il s'avère qu'il n'y a rien après ni avant
Considère que je t’aime entre deux néants
Ça m'apaise de me le présenter comme ça
Entre deux néants je t'aime ( 3 x )
S'il est vrai qu'il n'y a rien après ni avant
Nous ne serons jamais plus mauvais perdants
Jouissons de nos corps déjà vieillissants
Entre deux néants je t'aime ( 3 x )
S'il est vrai qu'il n'y a rien après ni avant
La terre est une île sous un lampadaire
Une heureuse lumière qui va, s'éteignant
Entre deux néants je t'aime ( 4 x )
Colle-toi, recolle-moi
Débrise-nous de partout(bis)
Colle-toi, recolle-moi
Répare-nous de nous(bis)L’amour fou furieux
Sous un ciel de rage
Des larmes sur nos feux
Pour incendier la cageEnfin libérés
On s’est tout dit
Et libres d’errer
On s’étourdit
Colle-toi, recolle-moi
Débrise-nous de partout(bis)
Colle-toi, recolle-moi
Répare-nous de nous(bis)On s’est blessé
Perdus de vue
On s’est laissé
Laissés au dépourvuOn se voulait infini
Des étoiles plein les yeux
Mais les nuages crèvent aussi
Et je pleure comme euxLe jour où tu reviendras
Tu sais, je n’y serai pas
Je serai parti te chercher
Moi aussi
Moi aussiColle-toi, recolle-moi
Débrise-nous de partout (bis)
Colle-toi, recolle-moi
Débrise-nous de nous(bis)Colle-toi, recolle-moi
Débrise-nous de partout(bis)
Colle-toi, recolle-moi
Répare-nous de nous(bis)Paroles : David Goudreault | Musique : Richard Séguin
Le cœur de l’océan, c’est ton cœur
C’est là que je vis, loin des grands malheurs
À vingt milles lieues de ce qui fait mal aux yeux
Dans la lumière douce de ton regard bleu
Le cœur de l’océan, c’est ton cœur
C’est là que je dors, au milieu des fleurs
Loin des tempêtes et des forêts en feu
Dans un drap tissé, juste pour nous deux
Même si je sais qu'il n’existe pas
Ce pays où l’on n’arrive jamais
Peut-être que nous on y arrivera
Dans ce royaume que tu m’as inventé
Oui si je sais qu'il n’existe pas
Le pays où l’on n’arrive jamais
Je sais que nous on y arrivera
S’il faut marcher mille ans je marcherai
Le cœur de l’océan c’est ton cœur
C’est un matin calme, dans un monde sans peur
C’est mille couleurs sur les murs des banlieues
C’est un jardin où le ciel est toujours bleu
Même si je sais qu'il n’existe pas
Ce pays où l’on n’arrive jamais
Peut-être que nous on y arrivera
Dans ce royaume que tu m’as inventé
Oui si je sais qu'il n’existe pas
Le pays où l’on n’arrive jamais
Je sais que nous on y arrivera
S’il faut marcher mille ans je marcherai
Le cœur de l’océan, c’est ton cœur
C’est là que je dors, au milieu des fleurs
Loin des tempêtes et des forêts en feu
Dans un drap tissé, juste pour nous deux
Dans un drap tissé, juste pour nous deux
Paroles : Thierry Séchan | Musique : Daniel Lavoie
Cacher les mots
Sous la plume d’un oiseau
L’enfance et ses chevaux
Le soleil comme un phare
Et la lune qui veille
La fleur qui se réveille
Une seconde sans un bruit
La musique de la pluie
L’espace dans ton regard
Une page blanche
Une page de silence
Cacher les mots
Dans la lande aux oiseaux
Entendre le berceau
Dans le chant des bateaux
Le soleil entre les feuilles
Le bleu derrière
Toujours la lumière
Le vent entre les branches
Les ombres qui dansent
Le cœur qui se balance
Une page blanche
Une plage et l’immense
Une plage et la chance
Trouver ici ou quelque part
Le parapet, le garde-fou
Là-bas ou n’importe où
Toucher la paix, cœur à genou
Une page blanche
Une plage de fleurs
Une page de bonheur
Une plage blanche
Une plage de chaleur
Une page pour ton cœur
Cacher les mots
Sous la plume d’un oiseau
Du vent dans mon chapeau
Paroles : Dany Rossignol | Musique : Sylvie Paquette
Bleu, comme je suis de toi
Bleu, comme mes yeux qui voient
Mélancolie mêlée de joie
Bleu, le coeur dans les nuages
L'ombre sur ton visage
La musique que porte ta voix
Bleu, dénudée devant toi
Feu et frisson à la fois
Une feuille qui tremble entre tes doigts
Dieu, sait bien ce qui est bien
Et retient dans sa main
L'instant des amours bleus
Bleu, la mer à l'infini
Une danse une mélodie
Qui berce nos peines jusqu'à l'oublie
Bleu, le ciel ouvert à tout
La larme sur ta joue
La grande chance d'un rendez-vous
Bleu, comme les murs de la chambre
Où se découpe l'ambre
De tes cheveux quand vient la nuit
Dieu, sait bien ce qui est bien
Et retient dans sa main l'instant des amours bleus
Bleu, dénudée devant toi
Feu et frisson à la fois
Une feuille qui tremble entre tes doigts
Dieu, sait bien ce qui est bien
Et retient dans sa main
L'instant des amours bleus
Paroles : Andrea Lindsay / Luc De Larochellière | Musique : Andrea Lindsay
Seule cette nuit d’hiver
Les lampadaires qui rêvent du jour
Et mon cœur qui se bouscule
Entre l’aurore et le crépuscule
Je vois les gens et leurs plaisirs
Les étincelles et les fous rires
Le délire qui me scintille
Comme un bijou au doigt de l’oubli
Je marche sur une corde raide
Suspendus au-dessus des aires
Un funambule qui vole sans ailes
L’amour est comme une marche sur une corde, sur une corde raide
J’avance sur le pont
De ce vieux port au bout du monde
Dans la rue des amours déchus
Où les soupirs viennent s’anéantir
Mon cœur s’est endormi
Somnambule au fond de la nuit
Sur le pont des amoureux
Est-ce que j’avance ou est-ce que je fuis?
Je marche sur une corde raide
Suspendus au-dessus des aires
Un funambule qui vole sans ailes
L’amour est comme une marche sur une corde, sur une corde raide
Paroles & musique : Zachary Richard / Mélissa Bonin
Dis, combien de milles
D’ici à la lune ?
Dis si sous la ville
Dort encore la dune
Et sous tes silences ?
Dis s’il y a des mots
J’avoue que j’y pense
Bien plus qu’il ne fautDis combien tu m’aimes pour qu’un peu j’y crois
Surtout pas de peine, je suis près de toi
Passent les semaines, le chaud et le froid
Dire combien je t’aime ? Ça je ne sais pasAu fond de la mer
Dorment tes secrets
Je s’rais moins amer
Si un peu je savais
Et dans tes toujours
Dis, combien de temps ?
Quand je serai vieux
Toi, m’aimeras-tu autant ?Dis combien tu m’aimes pour qu’un peu j’y crois
Surtout pas de peine, je suis près de toi
Passent les semaines, le chaud et le froid
Dire combien je t’aime ? Ça je ne sais pasSi je n’voyais plus
Serais-tu mes yeux ?
Si je n’marchais plus
Me port’rais-tu un peu ?
Mesurer l’amour
Aimer sans mesure
Peut nous jouer des tours
Nous avoir à l’usureDis combien tu m’aimes pour qu’un peu j’y crois
Surtout pas de peine, je suis près de toi
Passent les semaines, le chaud et le froid
Dire combien je t’aime ? Ça je ne sais pasM’aimes-tu toujours ?
M’aimes-tu un peu plus ?
Dis-moi si un jour
Nos doutes se s’ront perduParoles : Luc de Larochelière / Andrea Lindsay | Musique : Luc de Larochelière
À l'aube de rien
Là où l'eau redevient l'océan
Je bouffe les grains
Du sable par les salines
Depuis le jour où j'ai perdu mon cœur
Au fond de ta poitrineEt puis passe le temps
Comme des doigts dans les cheveux
Mais les heures s'entassentÇa devient ridicule
De plus en plus pluvieux
Tous ces nuages qui reculent
Je suis une flèche
Qui jamais n'atteindra sa cible
Une bête de rien
Un poète invisible
Au moins aussi étrange que malhabile
Un petit pot pour le fragile
Puis le sang dans ma tête
Cette impression que je manque de veine
Combien de kilomètres
Pour arriver au bout de ma peine
Le diable est vert au fond des êtres
Mais toi tu sais toujours me reconnaître
Si je n'entends plus rien
Dans l'autre moitié de mon corps
Je vois s'user sans fin
Chacune des étoiles par l'échine
Mais la poussière m'étouffe encore
Tant ta matière me chagrine
À l'aube de rien
Là où l'eau redevient l'océan
Je bouffe les grains
Du sable par les salines
Depuis le jour où j'ai perdu mon cœur
Au fond de ma poitrine
Depuis le jour où j’ai perdu mon cœur
Au fond de ma poitrine
Paroles & musique : Moran
J’ai soigné des oiseaux
Ils se sont envolés une fois guéris
J’ai donné un peu d’eau
À des chiens perdus
Ils ne m’ont pas mordu
Sans demander en retour
La lune et ce qu’il y a autour:
Quelques étoiles
Les oiseaux viennent m’endormir
Les chiens ils reviennent
Pour qu’on joue à la balle
Je fais tout ce que je peux pour toi
Je t’aide de mon mieux, toujours tu en profites
Tu m’appelles quand il fait nuit
Quand la peur te saisit, j’accours de mon plus vite
Je ne veux rien en retour
Tout juste un peu d’égard, tu n’es pas maboule
Ta colère n’est pas la mienne
Et je ne suis pas une chienne
Sur qui on se défoule
Tu m’engueules et m’entortilles
me pièges et me torpilles
Prends tout ce que tu es
Et donne à chanter aux oiseaux
À boire aux cabots
Ça ne nous fera jamais de malParoles & musique : Daniel Bélanger
Je suis née loin d’ici
Je reviens de là-bas
Trop souvent repartie
Ma vie avant toi
Les racines en sursis
Le désir quelques fois
Je partais sans soucis
Ma vie avant toi
Plus rien comme avant je ne cours plus après
Je regarde devant et je te garde je te garde tout près de moi
Des larmes d’eau de vie
Soigner cœur qui bat
Et noyer mes envies
Ma vie avant toi
Des nuits pleines d’oublis
Des routes et des pas
D’autres draps, d’autres lits
Ma vie avant toi
Plus rien comme avant je ne cours plus après
Je regarde devant et je te garde je te garde tout près de moi
Mais qui l’aurait prédit
L’amour et un toit
Répit du cœur meurtris
Ma vie avec toi
Ma vie avec toi
Ma vie avec toi
Paroles : David Goudreault | Musique : Richard Séguin
J’ai mis mon sac sur ton dos
Et puis ma main dedans la tienne
Entre Bastia et Ajaccio
Entre maman et musicienne
On s’dit souvent le temps qui fait
On parle de choses quotidiennes
On se dit tout ou on se tait
Et puis ma main dedans la tienne
Y’a pas de vent dans nos cheveux
Y’a plus d’enfants qui nous retienne
Y’a que la mer et puis nous deux
Des souvenirs en boîte crânienne
On s’dit souvent le temps qui passe
On parle de chance et puis de veine
Des liens du sang de pots qui cassent
Et de ta main dedans la mienne
J’ai mis mon sac sur ton dos
Calvi nous prend pour une chanson
La vie est belle en stéréo
Y’a pas erreur sur le garçon
Tu dis souvent - je t’aime trop
Comment tu fais pauvre terrienne?
J’ai l’impression d’être un héros
Quand j’ai ta main dedans la mienne
Y’a pas de vent dans nos cheveux
Y’a plus d’enfant qui nous retienne
Y’a que la mer et puis nous deux
Des souvenirs en boîte crânienne
On s’dit souvent le temps qui passe
On parle de chance et puis de veine
Des liens du sang de pots qui cassent
Et de ta main dedans la mienne
Y »a pas Petru sans Corsica
Y’a pas de nous quand t’es pas là
Y’a que cet air qu’on retiendra
La mélodie de toi et moi
J’me dis souvent - je l’aime trop
Comment j’ai fait pauvre terrienne
Pour mériter que mon héros
Garde ma main dedans la sienne?
Paroles : Moran | Musique : Catherine Major
C’est une lumière
Qui traverse le corps
Elle reste sur la terre
Pour refaire le décor
C’est une blessure
Qui finit par trouver
Le long chemin des mots
Le lent chemin du beau
Elle voyage dans nos veines
La chanson de Cohen
Elle voyage dans nos rêves
La chanson la chanson de Cohen
C’est le silence
Après le bel amour
Nos corps sont en patience
Dans le lever du jour
C’est une tristesse
Qui devient caresse
Dans une chambre d’hôtel
Nos rêves qui s’emmêlent
Elle voyage dans nos veines
La chanson de Cohen
Elle voyage dans nos rêves
La chanson la chanson de Cohen
Paroles : Marc Chabot | Musique : Luce Dufault